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Pour récupérer des informations, ils doivent s’appuyer sur des “oracles”, des intermédiaires qui servent de pont entre la blockchain et le monde extérieur. Dans ce cas de figure, le danger survient lorsque ces oracles sont compromis, fournissant des données fausses ou manipulées aux smart-contracts. À noter que les blockchains sont aussi vulnérables aux attaques par déni de service (DDoS). La blockchain étant hébergée sur un ensemble de serveurs décentralisés, si une partie ou la totalité des serveurs sont saturées, la capacité globale de la blockchain sera affectée, impliquant des lenteurs voire son indisponibilité.
Gestion des identités numériques
Dans les systèmes traditionnels, les transactions peuvent prendre du temps, surtout lorsqu’elles impliquent plusieurs parties dans différentes juridictions. Par exemple, un transfert de fonds entre deux pays peut nécessiter plusieurs jours, en raison des multiples vérifications effectuées par les banques et autres institutions intermédiaires. En avril, le Comité européen de la protection des données (CEPD) a rendu un avis sur une certification approuvée par la CNIL et adopté des lignes directrices sur les technologies de chaîne de blocs. Le CEPD s’est également dit prêt à coopérer étroitement avec le Bureau européen de l’IA.
Blockchain et sécurité : l’ère des transactions inviolables et décentralisées
Un réseau blockchain hautement sécurisé peut sacrifier la scalabilité, tandis qu’un réseau scalable pourrait rencontrer des difficultés avec la décentralisation. Les mécanismes de consensus nécessaires pour maintenir la décentralisation entraînent souvent des vitesses de transaction plus lentes et une consommation d’énergie accrue. Trouver un équilibre entre la décentralisation et l’efficacité est un défi auquel les développeurs blockchain continuent de s’attaquer. À mesure que le nombre de transactions augmente, le système doit pouvoir gérer la charge sans rencontrer de problèmes de performances. Le Trilemme de la quantalysus comparatif Blockchain est un concept qui met en lumière la difficulté inhérente à maintenir des niveaux élevés de sécurité, de scalabilité et de décentralisation dans un réseau blockchain.
Quelles sont les missions principales d’un Expert en Sécurité Blockchain ?
Les entreprises de logistique bénéficient aussi de la blockchain pour améliorer la traçabilité des produits. Cela permet non seulement de lutter contre la contrefaçon mais aussi de garantir la qualité et l’origine des marchandises, du producteur au consommateur final. Ces dernières attaques, nous permettent de constater que les escroqueries, parmi d’autres risques restent possibles malgré l’apparente infaillibilité du système de la blockchain. Ce qui nous amènent à nous demander si l’application de la gestion des risques dans le cadre de blockchain n’est pas indispensable.
Technologies Blockchain décentralisées et défis de sécurité
La nature distribuée de ces réseaux, bien qu’offrant une sécurité renforcée, peut entraîner des limitations en termes de vitesse de traitement et de capacité de stockage. Ces contraintes peuvent s’avérer problématiques pour des applications nécessitant un traitement rapide de grandes quantités de données, comme c’est souvent le cas en cybersécurité. Dans le domaine de la détection et de la prévention des fraudes, la blockchain offre des capacités uniques. Les institutions financières, par exemple, peuvent utiliser des réseaux blockchain privés pour partager des informations sur les transactions suspectes en temps réel, tout en préservant la confidentialité des données clients.